Qui mieux que Hollandois France pouvait répondre aux questions du Midi Libre au sujet des grivoiseries du désormais ex-candidat à l'Amèrie de Paris ? Personne assurément. Le promoteur de la chocolatine livrée à domicile ne s'est pas laissé prier pour livrer son commentaire, dont on appréciera toute la justesse. Retranscrivons.
"Tout cela est désolant." Franchement, comment ne pas être d'accord avec lui ? "Mais là aussi, ce que nous devons faire, c'est être capable de résister..." Oui, Hollandois, vous avez mille fois raison. Résistons. Résister à quoi, en fait ? "Résister à cette forme de.... dénigremennnt". D'accord, oui, vous avez raison, Hollandois. Nous étions tous à l'affût, en Province. On attendait tous la faute du Benjamin. On espérait qu'il serait digne de la famille, le minot. Enfin, en Saône-et-Loire, pas sûr que l'on parle de minot. On le traiterait volontiers de beurdin. "De pénétration..." Hollandois, vous vous égarez françoisement. "D'intrusion dans la vie privée..." Là, Hollandois joint le geste à la parole. C'en est troublant. On pense à Julie Gayet, sa dernière victime, qui témoignera peut-être un jour devant la Fédération Française. Pauvre petite Julie.
Hollandois poursuit, la main dans le doigt, euh, dans le dos : "Cela n'empêche pas d'être exemplaiiiire. Mais il faut fixer clairement cette limite. C'est aux citoyens eux-mêmes, sur les réseaux sociaux de mettre en cause, de dire eux-mêmes ce qu'ils ne veulent plus et à la loi d'être ferme sur les abus." Merci Hollandois. Une déclaration digne de votre non-quinquennat décidément.